Président de la Communauté de Communes Val'Eyrieux,
Maire du Cheylard
sur le thème
« Développement économique, ruralité active et innovante :
une alternative aux métropoles»
Nous avons su préparer voire anticiper ensemble avec les décideurs économiques, la stabilisation endogène de Val’Eyrieux, sur notre activité exogène, elle. Le principe de cette stabilisation repose sur une trilogie : l’économie, l’environnement, le social.
Nous avons des formations qui se sont mises en place, comme l’école de codeurs ; la filière e- commerce au lycée du Cheylard. Nous avons un fablab qui monte en puissance et s’ouvre à un public de plus en plus diversifié et interessé.
Nous avons un pôle de développement économique, une palette de services, une belle richesse culturelle, avec notamment un CCSTI.
L’attractivité je n’y reviens pas, elle vient de toutes ces choses, certes mais dans cette ruralité active, nous avons des qualités très particulières : un environnement qui s’est maintenu ; la sécurité aussi.
Avec les prospectives économiques que nous avons mis en route, des choses fort intéressantes en ressortent. Tout le monde connait maintenant la valeur du facteur culturel dans les territoires pour qu’ils se développent, mais il y un autre facteur essentiel : le facteur humain, que nous avons voulu et su garder sur Val’Eyrieux et à l’intérieur des entreprises.
Il y a aussi des phénomènes de proximité, des valeurs essentielles : il y a encore chez nous, des gens qui choisissent le métier plu- tôt que l’emploi, ce qui est une conception assez rare actuellement.
Tout ceci, facteur humain en particulier, ce sont les invariants du changement et ça nous permet d’avancer sur des logiques totalement différentes.
Notre territoire se doit d’être un territoire agile en étant actif et créateur. Il se doit de prendre ou soutenir des initiatives en lien avec l’aspect cultuel de la société mais également avec les décideurs économiques.
Il y a aussi des phénomènes de proximité, des valeurs essentielles : il y a encore chez nous, des gens qui choisissent le métier plutôt que l’emploi, ce qui est une conception assez rare actuellement.
Tout ceci, facteur humain en particulier, ce sont les invariants du changement et ça nous permet d’avancer sur des logiques totalement différentes.
Notre territoire se doit d’être un territoire agile en étant actif et créateur. Il se doit de prendre ou soutenir des initiatives en lien avec l’aspect culturel de la société mais également avec les décideurs économiques
Notre territoire se doit d’être un territoire agile en étant actif et créateur. Il se doit de prendre ou soutenir des initiatives en lien avec l’aspect culturel de la société mais également avec les décideurs économiques.
Aujourd’hui, il y a un dilemme en France entre
– l’horloge des décideurs économiques qui sont soumis à la globalisation et à la mondialisation d’un côté : il leur faut plus de sou- plesse, il faut qu’ils s’adaptent aux métiers
– Et de l’autre côté, l’état, dont l’emprise sur les collectivités locales est importante, et qui ne leur laisse aucune souplesse.
Ainsi nous, collectivité locale, avons plus de possibilité de travailler convenablement en étant agile et actif auprès des décideurs économiques, que de l’Etat.
Malgré les difficultés, les incertitudes et les aléas de la vie, les décideurs économiques comme les élus locaux, peuvent/doivent travailler la main dans la main pour essayer de trouver des solutions pour l’avenir et surtout d’autres développements.
En espérant vous avoir donné envie de passer par chez nous…
à court terme !